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Hey Guys ! 

Et si l’on disait tous ensemble, REPRIIIIISSSE ? Ce serait pas mal que la bloggeuse recommence à publier régulièrement, n’est-ce pas ? vos avis en commentaires, s’il vous plait. On n’oublie surtout pas de lire, liker et partager, let’s go ! 

Comme promis sur mon compte personnel, vous aurez droit aujourd’hui à mon analyse d’une œuvre littéraire, que j’ai beaucoup aimé avant et après lecture ! C’est un fait très rare, puisqu’il y’a des œuvres qui ne conquièrent mon esprit qu’esthétiquement parlant. Le fond n’étant pas souvent à la hauteur de la première de couverture. Bref, je vais sans plus tarder vous présenter l’œuvre mais aussi parler de son auteur, un ancien étudiant qui n’est pas entrepreneur comme ceux que je vous présente régulièrement, puisqu’il fait partie intégrante de ces femmes et hommes qui ont fait de nous des savants, des Hommes de Lettres et de Sciences ! Il est de ce cercle presque fermé qui exige de ses membres : rigueur, amour et pédagogie, suivez mon regard… 

Présentation de l’œuvre Dis-Leur de Rêver

Paru en autoédition, c’est-à-dire écrit et imprimé aux frais de l’auteur sans l’intervention d’un imprimeur ou d’une maison d’édition, le chef-d’œuvre DIS-LEUR DE RÊVER est présenté par son auteur au grand public en novembre 2020. Il fait précisément 133 pages de pur bonheur. Il s’agit d’une suite logique de ses premiers jets d’encre nommés : Le Venin de Dieu (2017) & L’audace de Vivre (2018). 

Ces textes sont tous des recueils poétiques d’un genre particulier. Je dirais qu’ils sont à classer dans le genre poétique didactique puisqu’étant des textes à portée hautement philosophique et morale. En effet, ma lecture de Dis-Leur de Rêver m’a ramené et vous ramènera à cette question existentielle : comment faisons-nous pour vivre normalement dans une société de plus en plus déshumanisée ? Comment fait-on pour vivre si le concept de culture du rêve s’estompe ? Patientez, j’y répondrais plus bas. 

Présentation de l’auteur 

Avec tous les indices donnés plus haut, vous avez certainement deviné qui est l’auteur, pas vrai ? C’est évident, l’auteur de ce joli recueil est premièrement un ancien étudiant gabonais, aujourd’hui très jeune enseignant de Philosophie. Vous imaginez, si tous les enseignants de philosophie de ce pays nous donnaient à lire leurs propres œuvres à la place de ces sempiternelles œuvres de Socrate ? De Descartes ? Peut-être que beaucoup auraient aimé la matière. Bref, l’auteur de cette œuvre n’est nul autre que MEL VINE. A l’état civil, il s’agit de Melvine Hella Ondo Fausther.

Au-delà du fait d’être un excellent poète, il est aussi un excellent slameur, puisque ses textes lus profondément, sont des invitations au slam. 

Mon Analyse de l’œuvre 

Avant de faire de vives critiques sur ladite œuvre, je tiens à féliciter son auteur qui se démarque assez bien de ses pairs. Ecrire n’est pas chose facile, encore moins dans notre pays quand on sait ce que cela demande comme investissement. Alors, faire le pari d’écrire, de commercialiser en version numérique et papier un livre fait entièrement seul, de l’idée à la conception puis promotion, je dis chapeau, défi relevé haut la main ! Vous pouvez vous aussi vous le procurer à 4500 F seulement en version papier et 1300F en version PDF avec dédicace. Nous connaissons tous les prix des œuvres d’auteurs gabonais, ne venez pas bouder ici, profitez seulement. 

D’abord, dès la première de couverture, j’ai été conquiiiiiise ! Elle est magnifique et tellement parlante. Le dessin a été réalisé par KAITCHY Falandry, un chef-d’œuvre qui ne me montre pas seulement le Gabon mais l’Afrique entière dans son devenir. J’y vois une frontière entre ce qui a été et ce qui sera. Ce qui a été fait et ce qui se fera. Ce qui a été dit et ce qui se dira. 

Les couleurs utilisées sont toutes aussi interpellatrices puisque le rouge représente l’énergie, la passion, le danger et même l’amour. Tandis que le noir est traditionnellement utilisé pour représenter la mort, le deuil, la fécondité. Mais en termes de Marketing, le noir est une représentation du pouvoir, du raffinement, et de l’élégance. Mises ensembles, ces couleurs sont une combinaison audacieuse et masculine. Ici, je dirais qu’elles sont combinées pour nous apprendre ce par quoi nous passons et qui nous sommes en réalité. L’auteur nous invite donc à nous rencontrer nous-même par le rêve afin de pouvoir enfanter une œuvre raffinée, sans égale qui changerait le cours de notre histoire. 

Ensuite, la quatrième de couverture… Que dire ? Dès la première lecture, de cette espèce de résumé, j’ai su que ce livre allait me plaire. La première phrase « Idéaliste était sonné ! » me disait que cet auteur avait beaucoup d’audace pour casser les codes de la littérature. Habituellement, la quatrième de couverture présente l’auteur et son parcours. Il peut arriver que l’on y trouve un résumé ou son extrait de texte assez compréhensif pour le lecteur ou des commentaires de lecteurs. Je me souviens qu’une de mes sœurs qui fait médecine l’a lu et m’a demandé : « tu lis encore quoi qui n’a pas de sens comme ça ? » J’ai tellement rigolé de son incompréhension du texte… Une incompréhension qui s’est aggravée quand elle a ouvert le livre pour lire le début de l’histoire. La disposition du texte est hors du commun, je veux dire inhabituelle puisque l’auteur s’est permis quelques phases. Comprenez donc à quel point il a fait preuve d’expression plus-que-libre. 

Ose ! le titre de l’incipit de l’œuvre m’a laissé perplexe, mais oh, quelle belle invitation à se réaliser socialement et littérairement parlant en poursuivant la lecture. Vous aurez l’impression de vous perdre au début, dans le monde onirique de Libératrice. Puisque dès le début, aucun personnage n’est directement présenté. L’histoire commence dès le chapitre 2, le thème et les personnages apparaissent au fur et à mesure. Nous avons : Libératrice, La bête, Guerre, Système, Paix, Manipulation, Peur, Poète, Philosophe, Le s’Eduquant, Monsieur-Tout-Le-Monde, La Maternité, Solitaire, Vie, Culture, Idéaliste. 

L’auteur donne à des concepts des caractéristiques humaines. Ainsi, Libératrice représente le concept de liberté, Idéaliste représente l’idéalisme, etc… Il use d’une figure de style qui s’appelle la personnification, qui consiste à donner à des concepts des capacités humaines. Mais notons bien que Manipulation et Peur sont en réalité des animaux dans l’œuvre.

Je me suis longtemps attardé sur la couverture du livre, la forme, l'auteur…mais que dire du fond de l'œuvre ? 

Le niveau de langue est soutenu, l’oeuvre enrichie votre vocabulaire mais l'auteur tient à rester compréhensible de tous. Il use donc de quelques expressions de la Gabonitude, à savoir : < le feu sur eux, p.20 > < j'ai ta douleur, p.35> < je vais encore faire comment, p.88>.

La progression de l’histoire est assez rythmée. Un style de montagnes russes, tantôt le récit est paisible, tantôt mouvementé.

Si je devais résumer, je dirais que l'auteur veut créer chez ses lecteurs l'audace de vivre et de rêver que plusieurs situations ont tué. La perte d’un être cher, le fait de n'avoir pas fait de longues études, la classe sociale, l’environnement politique, etc…

Mais les recommandations de Libératrice tranche ces faits, elle dit : 

《 croyez en vous !

Rêvez grand ! 

Enrichissez l'Homme !

Ebranlez les dogmes ! 

Riant, à cœur déployé.》 Tout ceci, quelque soit ce que vous êtes ou ce par quoi vous passez. L'humanité est pour les rêveurs qui écrivent leur légende. Ce sont les morts qui revendiquent la vie, les vivants vivent, libres et en mouvement pour accomplir leurs rêves même en terre hostile. 

Si tu es un rêveur comme Mel Vine, comme Reine Melissa, n'attend plus, procure toi ce livre en version numérique à 1300f et 4500f en version papier afin d'être boosté pour la réalisation de tes rêves. 

Dis-leur de rêver, une place de choix dans ma bibliothèque. 


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