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Guys, connaissez-vous l’évènement culturel qui a réuni écrivains, slameurs, peintres du pays? Découvrez-le plus bas !
La première édition du Festival du Livre Gabonais qui se déroulait les 25, 26, 27 mai 2022 a séduit les visiteurs dans son nouvel écrin, le Musée National des Arts et Rites. Cette première édition a vu la participation de plusieurs pays notamment : le Canada, la Guinée, le Congo, la Côte d’Ivoire, etc… mais surtout la participation d'une centaine d'auteurs.
Son but, contribuer à l'éveil citoyen de la jeunesse et offrir une plateforme de vente aux différents acteurs de la culture gabonaise.
Le Festival proposait une formule particulière sur trois jours en programmant des rencontres, des expositions, des ateliers et une remise de prix.
Cette 1ère édition a présenté des thématiques très intéressantes. La première, « La contribution du livre à l’éveil citoyen de la jeunesse » qui a vu la participation d’intervenants tels que le Professeur Hemery-Hervais Sima Eyi, le Professeur Guy Rossatanga-Rignault, etc. D’autres tables rondes ont suivi et parlaient : « du rôle de l’écrivain dans la société », « du livre : vecteur de transmission des valeurs socioculturelles », « l’Éducation : quelle place pour le livre de jeunesse ? » etc…
Il y a eu des présentations et dédicaces de livres avec la Franco-gabonaise Bessora pour son roman ‘’Les orphelins’’, la Tchadienne Tidjani Zenaba pour son roman ‘’Contre vents et marées’’, le Gabonais Hallnaut Engouang pour son roman ‘’Les veuves’’ etc…
C’était l’occasion de faire une photo avec Justine Mintsa, Pulchérie Abeme Nkoghe, Hermine Mbana, l’autrice d’Ibekelia, j’ai cité Odile Reteno N'diaye.
C'était également, une occasion de vous procurer les livres publiés chez la Doxa Éditions de l’autrice Nadia Origo. Il s’agit entre autres de Rêve Mortel de Benicien Bouschedy, Soleil Étranglé de Peggy Lucie Auleley, Entreprendre c’est faire la Guerre de Nadia Origo , Chants sur l’Ogowè de Juste Samson, Le rêve brisé du combattant de Lydie Stéphanie Mamiaka que mon ami Axel Etoughe s’est d’ailleurs procuré ❤.
Bref, le FILIGA a tenu toutes ses promesses. C’était l’instant d’un bonheur, d’un échange, d’un partage, d’une découverte, d’une vente et d’un achat, d’une rencontre et d’une amitié ayant pour socle le livre gabonais. Ah! Ce Festival m’a fait rêvé d’une littérature africaine plus que connue, meilleure, soudée! J’ai hâte d’être à la prochaine édition, ça promet!
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